À propos

Séance de Shiatsu au cabinet shiatsu-lavaux-lausanne de Coralia Gentile © Francesca Palazzi

Mon fil rouge

J’ai fait des études en langue et littérature à l’Université de Lausanne, avant de poursuivre mon parcours professionnel dans la rédaction, l’édition et la gestion de projets. Par ce biais, j’ai rencontré des gens venant des horizons les plus variés, ce qui m’a beaucoup plu.

Ayant poussé un peu par hasard la porte d’un cours de Qi Gong sans vraiment savoir ce que c’était, j’ai découvert un espace qui m’était inconnu jusqu’alors et qui a changé mon regard sur la vie.

Je pratique le Tai Chi et le Qi Gong depuis 2009, avec ma professeure Marie Pfiffer, et le Shiatsu depuis 2016. Depuis 2021, je suis praticienne en Shiatsu certifiée, formée à l’école IOKAI Shiatsu. Actuellement, j’approfondis ma pratique dans ces disciplines et continue de me former, autant dans ces arts orientaux que dans d’autres approches complémentaires. Je suis agréée auprès du RME et de l’ASCA, membre de IOKAI Shiatsu et de l’Association suisse de shiatsu ASS.

Avec beaucoup de gratitude, je remercie mes enseignantes et enseignants qui ont permis à toutes ces petites graines d’éclore, mes collègues et camarades du monde du Tai Chi-Tui Shou-Qi Gong-Shiatsu, et toutes celles et ceux qui transmettent leur enseignement avec justesse, simplicité et avec le cœur.

Je me réjouis de vous rencontrer et de partager avec vous, que ce soit lors d’une séance de Shiatsu ou d’un cours de Qi Gong.

Pour tout renseignement ou rendez-vous, vous trouverez mes coordonnées dans la rubrique Contact.

Autour du vide et du plein

Nous joignons des rayons
pour en faire une roue,
mais c’est le vide du moyeu
qui permet au chariot d’avancer.

Nous modelons de l’argile
pour en faire un vase,
mais c’est le vide au-dedans
qui retient ce que nous y versons.

Nous clouons du bois
pour en faire une maison,
mais c’est l’espace intérieur
qui la rend habitable.

Nous travaillons avec l’être,
mais c’est du non-être
dont nous avons l’usage.

Lao Tseu, extrait du Tao te king (traduit par Stephen Mitchell)